fausse rolex

Au sommet de la vie quotidienne : la Rolex Oyster Perpetual Explorer 2024

Lorsque fausse rolex présente la première Explorer en 1953, elle est déjà dotée d’un cadran noir conçu pour une lisibilité optimale dans toutes les conditions d’éclairage. Les index et les chiffres sont luminescents, mais à l’époque, ils sont simplement peints. Les premiers modèles (réf. 6098 et réf. 6150) sont également dotés de cadrans noirs, de chiffres caractéristiques pour les 3, 6 et 9 et d’aiguilles « Mercedes ». Le calibre A296 permet de mesurer l’heure à l’intérieur de leur boîtier. Le lettrage Explorer apparaît pour la première fois sur les cadrans de leurs successeurs (réf. 6298 et réf. 6350) en 1953. La référence 6610 suit en 1959 avec le calibre 1030, qui permet de construire un boîtier avec un fond plus fin. Sur ces premiers modèles Explorer, les aiguilles et la minuterie sont de couleur or.

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En 1963, la référence 6610 est remplacée par la référence 1016, qui renferme le calibre 1560 et augmente l’étanchéité de 50 à 100 mètres. La résistance à la pression à cette profondeur est restée une caractéristique de l’Explorer jusqu’à ce jour, et la référence 1016 est fabriquée depuis plus d’un quart de siècle. À partir de 1975, elle est équipée du calibre 1570, qui offre une fonction stop-seconde pour le réglage de l’heure à la seconde près, et le bracelet est doté de maillons massifs. L’Explorer subit une refonte complète en 1989, lorsque la référence 14270 reçoit un nouveau boîtier avec le calibre 3000 et un verre saphir, ainsi qu’un cadran portant des index appliqués en or blanc remplis de matière luminescente.

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En 2024, Rolex a réduit la taille de l’Explorer de 39 mm à 36 mm d’origine et a équipé la montre d’un mouvement de manufacture de dernière génération. Le calibre automatique 3230 offre désormais une réserve de marche de 70 heures au lieu des 48 heures de son prédécesseur. Le 3230 est également doté de l’échappement Chronergy, qui s’associe à un spiral Parachrom bleu optimisé pour offrir une meilleure protection contre les champs magnétiques. Outre la version en acier inoxydable, Rolex propose également une nouvelle variante bicolore en Rolesor, une combinaison exclusive d’acier inoxydable Oystersteel et d’or jaune 18 carats. C’est la version que nous avons testée.

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La lunette polie ultra-brillante est montée sur le monobloc en acier inoxydable massif qui constitue la partie centrale du boîtier. Ce composant est poli ultra-brillant sur ses côtés et vissé hermétiquement au fond vissé caractéristique, finement moleté et brossé mat, qui ne peut être ouvert qu’avec un outil spécial. Un verre saphir légèrement saillant mais plat et antireflet scelle le boîtier sur le dessus. Des pièces de connexion fixes entre les cornes relient le boîtier au bracelet Rolesor.

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Le calibre de manufacture moderne 3230, lancé il y a deux ans, est actionné par la couronne Twinlock. Plusieurs brevets ont été déposés ou ont déjà été accordés pour protéger ce mouvement automatique à rotor Perpetual à remontage bidirectionnel. Parmi les composants brevetés figure l’échappement Chronergy de Rolex, qui se distingue par une nouvelle géométrie qui permet d’obtenir une excellente fiabilité fonctionnelle et une efficacité énergétique 15 % supérieure à celle d’un échappement à ancre suisse classique. L’échappement est fabriqué dans un alliage nickel-phosphore, ce qui le rend également insensible aux champs magnétiques.

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Malgré l’or et la brillance, les reflets sont quasiment inexistants et l’heure reste parfaitement lisible, même dans l’obscurité, grâce à la peinture Chromalight exclusive de Rolex. Les chiffres, les index et les aiguilles sont dotés d’une nouvelle version particulièrement puissante de Chromalight, qui reste visible très longtemps et qui non seulement arbore une jolie teinte bleue la nuit, mais continue également à briller plus longtemps que son prédécesseur.

Lorsque fausse rolex présente la première Explorer en 1953, elle est déjà dotée d’un cadran noir conçu pour une lisibilité optimale dans toutes les conditions d’éclairage. Les index et les chiffres sont luminescents, mais à l’époque, ils sont simplement peints. Les premiers modèles (réf. 6098 et réf. 6150) sont également dotés de cadrans noirs, de…

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